Les rabougris en remettent dans le dégueulasse
J'ai lu je ne sais où, ou entendu dire par je ne sais qui, que les sénateurs du Parti Socialiste s'étaient fait hara-kiri en nous concoctant leur projet de loi rendant la vaccination anti-covid obligatoire, texte qui vient d'être rejeté par quelque auguste commission qui a décidé que pour le moment la menace de 1500€ d'amende suffirait... à encourager toujours plus de cobayes à se faire piquer comme du bétail, toujours plus de citoyens à part entière d'une démocratie éclairée, soucieuse des droit du Faubourg Saint Honoré, pris en otage par une légitimité salace insolemment brandie par des lavettes et des tocards.
Or donc, ce me semble, les notables censés calmer les fièvres passagères menaçant le cours tranquille de la vie française se servent surtout de nous pour signaler à leurs compères macronisés que le PS pouvait bien crever pour autant qu'ils puissent conserver leur sinécure sine die. Bye bye je ne sais qui, éphémère leader de la trahison des intérêts populaires depuis bien avant que Mitterand nous soit conté, candidat jeune loup sacrifié par la génération descendante accoutumée à son confort... et bonjour le Parti Communiste qui frétille, espérant toucher à la place de la perfide ex-SFIO (Section Française de l'Internationale Ouvrière, socialiste, anti-communiste) le salaire de la collaboration, qui ne doit pas être à la hausse si les tendances de fond devaient se confirmer ainsi que le veut leur fonction. Donc je crains que le PCF ne soit pas destiné à jouir longtemps des langueurs du Vichysme d'aujourd'hui et que les sénateurs, habitués à reculer, ne sachent plus que sauter à la hauteur recommandée par les marionnettistes que chacun sait ou devine à la mode qui lui plaît.
C'est sans l'ombre d'un regret pour ces disparitions durables que je pense avec tendresse pourtant, à ce sénateur LR (Les Républicains, parti de l'imagination dénominative, héritier d'une longue liste de sigles et appellations destinés à protéger
les uns et les autres des retombées judiciaires consécutives aux politiques créatives des autres et des uns) qui savait comme ses confrères du PS que c'était la faute des mauvais citoyens n'acceptant pas le vaccin anti-covid si toute la
société se retrouvait bouclée: confinement, contrôles et contraventions, c'était donc ma faute!
Quelle satisfaction de me découvrir tant d'influence sur le cours des évènements, et quel soulagement de comprendre enfin l'urgence qu'il
y avait que le teint frais et la chair douillette d'un petit monsieur de la bonne société puisse continuer de prospérer, de jouir de la manne qui lui est dûe... et de la boucherie qui nous est promise par la racaille bourgeoise vendue
à l'étranger... ça m'a échappé!
C'est pour ça que je m'inquiéte, comme d'habitude, il paraît que c'est l'âge qui veut ça; je me fais du souci pour les sautes d'humeur affligeant mon opinion et ma syntaxe à l'unisson, et pouvant laisser supposer quelque malsaine inclination à un populisme
revanchard d'un mauvais goût, je ne vous dis que ça! voire même, imaginez! un séparatisme que je n'ose qualifier, mais on se comprend, n'est-ce pas?!
Probable que c'est aussi ma faute, à moins que ce ne soit celle des Chinois...
vouloir se séparer d'une si flatteuse appartenance à une communauté aussi respectable que celle des fonds de tiroir de la république des lumières, sans vergogne en train de se remplir les poches; vouloir faire sécession d'avec une telle perfection...
quelle abomination!
Et avec ce vaccin-damoclès pour finir d'infecter mes vieux jours qui n'avaient pas besoin de ce prétexte pour redouter la nuit qui vient, 'Rage, rage...' disait le poète (Dylan Thomas); avec cette nouvelle assurance
sur la pérennité de la bassesse, je m'interroge plus précisément sur l'identité du marionnettiste décidé à me pourrir l'existence?
Or voilà que quelque leste zéphyr gros de rumeurs acerbes me murmure à l'oreille que c'est toujours les
mêmes philanthropes qui à force de se reproduire en vase clos à l'abri de leur richesse, accumulant couche de bêtise sur strate de saleté et habillant le tout d'un nappage d'avarice, toujours les mêmes patissiers fiers de si bien savoir mettre
en valeur, cerise sur le gateau, le génie du petit salopiaud à marcher sur la piste de ses prédécesseurs conduisant au chaos rémunérateur, toujours la même sale race de bourgeois puants: pour mettre fin à un suspense angoissant!
Et moi de me ronger les sangs, craignant que la liste de tous les bienfaiteurs de l'humanité qui veulent nous inoculer de force ne tombe dans des mains dont les doigts pourraient être mal intentionnés et vouloir incessamment faire table rase des politesses usagées et punir rétroactivement avec les intérêts, les marges et les frais, les regrettables errances de la racaille institutionnelle, parlementaire et gouvernementale se croyant bien à l'abri de ses murailles de paperasses contresignées par complices et valets, ô combien protégés par les textes gravés dans le marbre des décrets et la légitimité bidon d'une sale bande de caniches toilettés.
Ça me tracasse, que voulez-vous! Leur portefeuille de valeurs
transparentes, leurs investissements 100% allégés en conflits d'intérêts ayant le moindre rapport avec l'industrie médicale et la finance internationale, dont l'aile anglo-saxonne se soucie tant de ses partenaires Gaulois, ces bouseux
d'outre-manche. Que vont-ils devenir?
Cela m'émeut, m'alarme et me chagrine, si la peine de mort était rétablie, à la bonne franquette, pour récompenser les responsables de la présente hystérie sanitaire qui veulent maintenant, maudite
vermine, s'en prendre à nos enfants... zani, racaille, fumiers... cela devient épuisant d'appeller les choses par le nom que la loi permet au pays de la liberté en toc et de l'égalité des hommes de paille qui ont depuis longtemps relégué
l'égalité dans les catacombes convenant aux désuettes religions.
En tout état de cause tout ce que je leur souhaite c'est que je sois le seul à leur souhaiter ce que je leur souhaite, parce que j'en connais (on ne connait qu'eux
en fait, pas besoin de complotisme de derrière les fagots ni de fuitages que la CIA réprouve au moins autant que moi les néologismes des gens qui ne me plaisent pas, c'est leur métier de se répandre et ils excellent sans conteste à prendre
l'obscénité au pied de la lettre) qui pourraient avoir des comptes à rendre pour leur gestion avisée, des comptes et quelques décimètres en cas de trahison des intérêts supérieurs de la nation dont je suis en train de préparer une interprétation
nouvelle convenant mieux aux instincts sanguinaires du populiste haineux que je suis par définition.
Quelle perte pour le pays, tous ces disrupteurs disruptés en chœur... Mais Dieu dans sa grande bonté saura les accueillir, Alleluia! dans un purgatoire désodorisé pour une durée customisée relative à l'importance de l'empreinte digitale qu'ils auront regrettablement laissé dans les rouages des législations scélérates dont ils nous abreuvent depuis trop longtemps... vidange... coup de balai... les risques du métier de sénateur at large in partibus par contumace d'après quelque jardinier aimant ratisser large!
Souffler le chaud et le froid, c'est aussi à ça qu'ils servent nos sages agréés qui, commission ou pas, ont prévu pour bientôt l'ordre du jour convenant le mieux à leur sérénité tout en entretenant un climat d'incertitude parmi les masses
admiratives de tant de majesté dans l'exercice de la démocratie futile de ronds-de-cuir mités, ne perdant pas une occasion de faire s'enfler la rumeur la plus propice aux coups tordus habituels.
Et moi, que comme eux l'âge embarrasse
de ses lenteurs solennelles et autres réflexes adaptés à une vue en baisse, au spectacle de tant de chair replète je ne sais comment au mieux illustrer pour la postérité la confusion des genres exsudant des arômes aussi pénétrés de la
langueur du temps et de l'insipide corruption envoûtant toute chose. Comment un serpent qui se mord la queue peut-il s'écrouler comme un château de cartes? Comment la fange et la crasse peuvent-elles échafauder des fantasmes aussi arrogants?
Heureusement! le Sénat est là, pour que la sauce ne brûle pas mais s'évapore subtilement vers Dieu seul sait quel paradisiaque Panama.
Or moi, ma pomme toujours et encore, qu'un rien en vain agite, moi une fois de plus, de m'angoisser que les archives de la république, Marianne jouant sa Notre Dame, ne partent soudain en fumée pour effacer les traces de ces délires! Le Quatrième
Reich nous sera-t-il servi sur les rives de la Seine, sous l'ombrelle du parrain américain, par les chiens-chiens à leur pépère, goinfres devant l'Éternel?
Mais je me faisais du souci pour rien. Les archives sont numérisées et tout
citoyen peut démocratiquement les consulter que ses doigts soient ou non mal embouchés; pyromane passe ton chemin, un virus fera l'affaire et de toute manière nous n'en étions encore qu'au refrain.
L'assemblée repassa par là, le
Sénat remit ça, il faut bien s'occuper, la poudre aux yeux que l'on jette ne se jette pas d'elle-même la garce!
En d'autres lieux, tout aussi onéreux, décidés à ne pas se laisser faire, quinze présidents socialistes de département pétitionnent en haut lieu que la morale publique exige la vaccination d'urgence de toute cette populace proliférant sur
l'assistanat, cette plèbe sans tribun, ce prolétariat sans parti qu'il est juste de piétiner un peu plus qu'il ne l'est déjà pour lui inculquer ce respect de la hiérarchie qu'il n'a de toute évidence pas encore aussi bien compris que le
désirent les codificateurs de décrets intronisant leur turpitude parfumée.
Et moi qui m'interroge sur le bien-fondé de cette appellation de 'socialiste'. Je suis bien certain que les théoriciens de l'isme en question connaissent
par cœur toutes les justifications que l'histoire fournit à leur mission de gouvernance éclairée, sous la lumière crue des nécessaires adaptations que la réalité cruellement impose à leur générosité, leur humanisme profond qui ne prend
qu'accidentellement les accents germaniques de la nouvelle Europe soucieuse d'harmonie sérologique.
Moi qui m'interroge, manière de parler, pour ne pas oublier de préciser que cette dernière mouture de l'art de gouverner sans oublier
les petits copains qui l'ont bien mérité nous vient moins d'outre-Rhin que d'outre-Atlantique via le fretin local lui aussi éduqué aux écoles de l'Amérique.
Aussi 'Parti Socialiste Germano Atlantiste, chapitre parigot', me paraîtrait une appellation plus approppriée.
Les quinze guignols du PSGAP, s'inquiétant de leur retraite anticipée devant quelque odieuse vague menaçant leur tranquillité,
protestent auprès du premier valet de pied de leur capacité à se montrer encore plus répugnants que la concurrence dans la course à l'asservissement de leurs concitoyens qui se demandent peut-être ce que fait l'armée pendant ce temps,
hypnotisée par la menace islamiste menaçant les intérêts de France-Afrique mais s'inquiétant beaucoup moins des dangers que font courir à nos enfants leurs œillères tout à fait hermétiques à l'appel du bon sens qui exige de son côté que
les fadas qui nous gouvernent soient mis hors d'état de nuire dans les plus brefs délais.
Hélas! Il semblerait que généralement la grande muette ait elle aussi compris de quel sang impur arroser sa retraite: celui du peuple!
Est-ce que je m'égare pour ne pas changer? Quoi qu'il en soit de mes errances, l'apartheid des sans-pass venant complémenter celui auquel les pauvres de toutes les nuances ont le droit imprescriptible au royaume de France; étant donné que tout a de plus en plus l'air d'être bien parti pour mal continuer, notre démocratie made in MEDEF... peste, choléra, Frankestein & Dracula... notre république adorée, cette trainée, s'est comme d'habitude obscènement entichée des chers corbeaux délicieux voulant une fois encore nous sustenter de leur cuisine made in Mengele.